« La hauteur de l’orgueil se mesure à la profondeur du mépris »*

Quand ça vire au pathétique… et au ridicule

 
Si encore quelqu’un en doutait, voici comment le Président de la Fni a fêté le 1er avril : en méprisant celles et ceux qui s’opposent à lui.
On pourrait être “pétés de rire” mais vu le contexte, ce n’est pas franchement pas le moment.
 
Mais on le sait : lui ne voit qu’un « malaise » chez les idels quand il s’agit d’une crise sans précédent. D’où son humeur légère.
 
La légèreté n’est pourtant pas du côté de celles et ceux qui voient leur activité se dégrader, qui ne demandent qu’à vivre décemment de leur travail et qui s’organisent pour s’investir dans des actions depuis plusieurs mois maintenant. Quelle indécence !
 
Non seulement le culte de la personnalité est son fort tant ses photos et son nom sont mis sans cesse en avant, mais en plus il se met en scène pour mieux provoquer à trois jours de la manifestation de Paris.
 
Dans son post (1), pour faire écho à sa récente interview (2), son message est clair : ce que demandent les idels est hors sol.
 
Après nous avoir accusés de populisme, telle est donc sa dernière provocation.
 
Gageons qu’il va être le premier à répondre favorablement au courrier de Thomas Fatôme (3), et à s’asseoir à la table des négos pour vite signer a minima et rafler encore la primeur de la photo d’une bonne grosse et belle poignée de mains avec le directeur de la Cnam. Et tout sourire.
 
Une seule réponse à lui faire : toutes et tous dans la rue à Paris jeudi.
 
*André Gide
 
 
 
(3) https://onsil.fr/quand-la-cnam-sexprime-enfin-cest-pour-ne-pas-dire-grand-chose/

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