Consultations au Ministère :

 un simple jeu de dupes.

Ils sont tous réjouis et ravis. Et même repus dans leur suffisance d’avoir été reçus au Ministère.

Le Ministre a choisi la voie la plus courte, la plus simple et la plus facile : celle de s’entretenir avec ses « amis ».

Les syndicats « représentatifs » sont dans leur posture de savoir ce qui est bon pour la profession quand ils ont signé tout ce qui a noyé notre exercice. Ils n’ont peur de rien.

Leur politique a fait fuir les idels qui ne se syndiquent quasiment plus au point que nous sommes les moins syndiqués des professions de santé… Ils ne sont désormais représentatifs de… rien !

Leur rejet de l’union, portée par l’Onsil (1), montre qu’ils sont non seulement éloignés de l’opinion générale des idels qui réclament cette union, mais surtout qu’ils s’assoient lamentablement dessus.

Alors c’est sûr, ils peuvent acter du dialogue facile au Ministère : jusque-là, ils ne lui ont pour ainsi dire pas posé de problème majeur. C’est bien simple, ils sont d’accord sur tout. Pour preuve, les signatures infamantes des avenants successifs, à quelques exceptions près pour certains mais ça n’en fait pas des héros pour autant.

Ceux qui sont dans la rue ont bien d’autres revendications et d’autres ambitions et ce sont eux qui doivent être reçus par le Ministre s’il veut réellement entendre le parler vrai des professionnels qui sont au bord de l’épuisement total et qui veulent vivre décemment de leur travail.

Quand ceux qui représentent légitimement ce mouvement demandent à être reçus, on les ignore et on les laisse sans réponse.

Les actions doivent continuer et l’Onsil est toujours aux côtés du Collectif infirmiers libéraux en colère dont elle soutient les revendications.

(1) https://onsil.fr/lunion-en-intersyndicale-impossible-lonsil-regrette-amerement-cet-echec/

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