
L’Onsil solidaire des professionnels de santé dont les rémunérations ont été suspendues* se mobilise dans le cadre du mouvement “professionnels de santé trahis”, face à
J’ai demandé à un psychiatre pourquoi les personnes qui se noient dans les difficultés de leur travail s’obstinent malgré tout à l’exercer, ne se rebellent que trop tardivement et ne disent pas stop plus tôt.
La réponse imagée qui m’a été donnée est qu’avant de pouvoir donner un coup de pied pour remonter à la surface, il faut toucher le fond, ce que les tutelles pour notre profession, tout comme les employeurs pour d’autres savent parfaitement.
Pour retarder cette échéance, ils les mettent sous assistance respiratoire, avec un minimum de mesures qui leur donnent juste assez d’air pour leur permettre de croire qu’ils surnagent alors qu’en réalité ils sont en train de couler !
Ils ne touchent donc jamais vraiment le fond et continuent ainsi à accepter mesurettes, applaudissements ou fausses avancées comme des bouffées d’oxygène car leur instinct de survie les y pousse.
L’image est sinistre mais tellement vraie.
Et pourtant, un syndicat, qui dénonce les fausses avancées (BSI, …), la futilité des actes obtenus (signature des actes de décès, l’accès direct envisagé aux IPA, …), exige l’obtention de la consultation infirmière pour tous, la réouverture de la NGAP, appelant, lui, à l’union avec tous ceux qui veulent défendre la profession sans condition, n’est pas entendu !
Que choisir ?
Pour ma part mon choix est fait, je refuse une vie professionnelle végétative sous cette assistance respiratoire qui altère notre conscience et notre envie de nous battre, nous anesthésie et nous amène inexorablement vers un coma certain, puis la mort de la profession !
Merci aux infirmiers d’être en colère, et n’oubliez pas que dans notre beau pays, pour être entendus, il faut être légalement reconnu et en capacité de siéger lors des négociations professionnelles. Pour cela, il faut passer par un syndicat, seul habilité par la loi à le faire.
Syndiquez-vous massivement et au bon syndicat.
Choisissez l’Onsil, qui demande depuis plusieurs décennies, la consultation infirmière, l’Onsil qui a été le seul syndicat à refuser le dsi, puis le bsi, et qui demande l’accès direct à tous les infirmiers libéraux. Et merci à celles et ceux qui nous font déjà confiance.
L’Onsil solidaire des professionnels de santé dont les rémunérations ont été suspendues* se mobilise dans le cadre du mouvement “professionnels de santé trahis”, face à
PLFSS 2026 : un rapport technocratique qui menace l’exercice libéral infirmier L’Onsil alerte : les propositions de la CNAM pour le Projet de Loi de
ÉLECTIONS CARPIMKO 2025 : VOTRE AVENIR EST EN JEU ! Chères consœurs, chers confrères, L’heure est venue d’agir ! Du 24 juin au 8juillet 2025, vous êtes appelés
Revalorisation urgente des infirmiers libéraux, le Député Michel Herbillon interpelle le Gouvernement par une question écrite. Le ministre de la santé engage le processus d’ouverture
Perfusions longues : la Cnam débranche les IDELs ? Quand la CNAM détricote ce que le gouvernement promet : les infirmières libérales ne se tairont
Pas de réforme en douce : l’Onsil dénonce une circulaire menaçant les revenus des IDEL L’Onsil appelle à la vigilance et au respect du dialogue
Aides sociales de la CARPIMKO : un soutien souvent méconnu ! L’Onsil rappelle que des aides existent pour les IDEL en difficulté, même en cours
CARPIMKO : un pilier essentiel de notre protection sociale libérale, Préserver nos droits à la retraite et à la prévoyance, c’est défendre l’indépendance de notre
Élections CARPIMKO 2025 : qui peut voter et comment ? Remplaçant-e-s, retraité-e-s, ne laissez pas passer votre voix ! Le sais-tu ? CARPIMKO signifie Caisse
Onsil : Organisation Nationale des Syndicats d’Infirmiers Libéraux
#MonMétierJeLaimeJeLeDéfends
Powered by De Visu Stanprod